Droits de l'enfant hospitalisé: des soins humanisants sont essentiels

Aujourd'hui est un jour spécial pour penser à tous ces enfants qui, malheureusement, luttent contre une maladie et sont admis. Aujourd'hui, le 13 mai, c'est le Journée des enfants hospitalisés, une situation qui n’est pas agréable pour l’enfant et sa famille, mais qu’ensemble nous pouvons la rendre plus supportable.

Humaniser les soins hospitaliers est essentiel Pour les patients, en particulier les jeunes enfants, certains séjours prolongés sont dus à des maladies prolongées ou à des bébés prématurés arrivés trop tôt dans le monde et devant être accompagnés pendant 24 heures.

Droits de l'enfant hospitalisé

Le 13 mai, les organisations ont choisi de créer la Journée nationale des enfants hospitalisés, car une journée comme celle-ci, en 1986, avait abouti à la résolution du Charte des droits de l'enfant hospitalisé par le Parlement européen d'établir et de renforcer l'idée selon laquelle le droit aux meilleurs soins médicaux constitue un droit fondamental, en particulier pendant les premières années de son développement.

L'enfant a le droit:

  • Ne pas être hospitalisé sauf si vous ne pouvez pas recevoir les soins nécessaires à domicile ou en clinique externe.

  • En hospitalisation de jour, sans que cela n'entraîne de charge supplémentaire pour les parents.

  • Être accompagné de ses parents ou de la personne qui les remplace le plus longtemps possible pendant leur séjour à l'hôpital, sans nuire à l'application des traitements nécessaires à l'enfant.

  • Recevoir des informations adaptées à leur âge, à leur développement mental et à leur état émotionnel et psychologique.

  • Pour une réception et un suivi individuels, les mêmes infirmières et assistants sont affectés autant que possible à cette réception et aux soins nécessaires.

  • Refuser (par la bouche de leurs parents ou de la personne qui les remplace) de faire l'objet d'une enquête et de refuser tout soin ou examen dont le but principal est éducatif ou informatif et non thérapeutique.

  • Droit de ses parents ou de la personne qui les remplace de recevoir toutes les informations relatives à la maladie et au bien-être de l'enfant, tant que son droit de respecter sa vie privée n'en est pas affecté.

  • Droit des parents ou de la personne qui les remplace par exprimer votre accord avec les traitements Ils s'appliquent à l'enfant.

  • Droit des parents ou de la personne qui les substitue à un accueil adéquat et à leur suivi psychosocial par du personnel ayant une formation spécialisée.

  • Ne pas être soumis à des expériences pharmacologiques ou thérapeutiques. Seuls les parents ou la personne qui les remplace auront la possibilité d'accorder ou de retirer leur autorisation.

  • Droit de l'enfant, lorsqu'il est soumis à une expérimentation thérapeutique, à être protégé par la déclaration d'Helsinki de l'Assemblée médicale mondiale et ses actes ultérieurs.

  • Un ne pas recevoir de traitements médicaux inutiles et ne pas supporter de souffrances physiques et morales évitables.

  • Droit et moyens de contacter leurs parents ou la personne qui les remplace en cas de tension.

  • Être traités avec tact, éducation et compréhension et faire respecter leur vie privée.

  • Recevoir les soins fournis par un personnel qualifié, connaissant les besoins de chaque groupe d'âge sur le plan physique et émotionnel.

  • Être hospitalisé avec d'autres enfants, en évitant autant que possible l'hospitalisation des adultes.

  • Disposer de locaux meublés et équipés, afin qu'ils répondent à vos besoins en termes de soins, d'éducation et de jeux, ainsi qu'aux règles de sécurité officielles.

  • Poursuivre leur formation scolaire et bénéficier des enseignements des enseignants et du matériel pédagogique mis à leur disposition par les autorités scolaires à condition que cette activité ne nuise pas à leur bien-être et / ou n’entrave pas les traitements suivis.

  • Avoir des jouets adaptés à leur âge, des livres et des supports audiovisuels.

  • Pouvoir recevoir des études en cas d'hospitalisation partielle ou de convalescence chez soi.

  • Pour la sécurité de recevoir les soins dont vous avez besoin, même si l'intervention de la justice est nécessaire si les parents ou la personne qui les remplace se voient refuser leurs droits pour des raisons religieuses, de retard culturel, de préjudice ou s'ils ne sont pas en cause conditions nécessaires pour prendre les mesures appropriées pour faire face à l'urgence.

  • Aux aides économiques, morales et psychosociales nécessaires pour être soumis à des examens et / ou traitements qui doivent être effectués à l'étranger.