Allaiter ne veut pas dire dormir moins

Une étude récemment publiée dans la revue Pediatrics menée par l’équipe de psychologie pédiatrique de l’Université de Virginie occidentale a laissé cette conclusion: Allaiter ne veut pas dire dormir moins.

Pour le réaliser, l’analyse de divers paramètres a été incluse: durée réelle du sommeil, nombre de réveils, durée de la veillée nocturne effective et évaluation subjective de la qualité du repos des mères, également évaluée en fonction de la qualité du repos. son repos à des échelles scientifiques qui mesurent la capacité visuelle et la concentration.

Aucune différence significative n’a été constatée entre les groupes différenciés et il a été déterminé que l'allaitement, le biberon ou l'allaitement mixte n'a aucune influence réelle sur la qualité et la durée du sommeil des mères.

Souvent, les mères épuisées par les réveils nocturnes du bébé sont tentées de passer à l'allaitement artificiel ou mixte en espérant pouvoir ainsi améliorer leur repos. Mais cette étude indique que l’allaitement n’implique pas de dormir moins.

Mon expérience personnelle Il est clairement positif en faveur de l'allaitement maternel, mais, comme toutes les expériences personnelles, il ne peut servir que de témoignage et non de règle. J'ai donné l'allaitement mixte pendant deux mois, dont le premier était, la nuit, exclusivement avec des biberons. J'étais complètement bouleversée, même si, sans aucun doute, mon fils était un bébé prématuré, confronté à de nombreux problèmes, non seulement pour attraper le sein, mais aussi pour boire le lait au biberon. Mon allaitement exclusif a eu une influence sur la qualité de mon sommeil. Je n'ai pas eu à préparer quoi que ce soit la nuit et je ne pouvais tout simplement me le mettre à la poitrine que si je demandais à moitié endormi dans le même lit.

Ce travail qui souligne que Allaiter ne veut pas dire dormir moins J'espère que cela incitera les mères qui allaitent et dorment beaucoup à dormir, sachant que l'éveil des bébés est quelque chose de naturel et que, pour les améliorer, il est préférable de les fermer et de les nourrir à la demande, au lieu de tenter leur chance en laissant allaitement naturel